Pauline Catherinot cherche, dans l’écriture, une rythmique dissonante. Le mot est découpé ou aphone. Le verbe devient alors une voix, une voix crachée. Mot qui colle à la peau et aux crocs. En trouver les frontières. Les marges. Les infinis. En mouvement. Corrompre le sens et dans la bouche-pleine : avaler les silences. Le V.E.R.B.E comme réservoir de la pensée et du vide. Un avenir absorbé et… dans les vitrines, ce chat dort entre Heidsieck et Chopin…. Expérimentation(s)… des noirs et du blanc… Des accrocs ou accords pour se laisser aller à d’autres gammes. Vers. Des trajectoires tissées sur un fil étoilé – entre le rêve et la réalité – Lecture-spectacle, Théâtre, Musique et Corporéité du mot s’entremêlent, se croisent… Une douceur presque innocente.
Publications :
https://encephalogrammeduspectateur.wordpress.com/publications-2/
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